La qualité au meilleur prix
Des produits naturels pour tous les budgets

Livraison gratuite
sur chaque commande de plus de 40€

Protection des données clients
Vos données sont en sécurité chez nous

Problèmes vaginaux : identification et traitement

mysmile-teeth-whitening-strips-fr.webp

Démangeaisons intimes, irritations, perte d’élasticité du vagin, libido féminine déficiente, mycoses à répétition et infections vaginales ... les maladies du vagin sont nombreuses et pas toujours faciles à traiter. Voici donc une énumération complète des différents problèmes du vagin les plus communs et les meilleures solutions naturelles pour y remédier.

Pour quelles raisons peut-on avoir des problèmes vaginaux ?

Les problèmes vaginaux sont causés par différents facteurs. Ils peuvent survenir à la suite d’un accouchement ou au cours du processus normal de vieillissement en passant par une infection vaginale opportuniste. Chaque affection vaginale engendre des symptômes variés comme le relâchement des muscles du vagin, des odeurs, des douleurs vaginales lors des rapports ou à plus long terme, des problèmes de vessie ou d’utérus.

Lorsque le vagin subit une infection, cela veut généralement dire qu’un microbe qui y déjà présent naturellement s’y développe de manière anarchique. Souvent, il s’agit de levures (champignons de type candida albicans) qui provoquent des mycoses, des bactéries vaginales responsables de vaginoses bactériennes, ou des bactéries anales qui sont transmises accidentellement provoquant une vaginite fécoïdale, sans oublier enfin les maladies sexuellement transmissibles comme l’herpès ou la syphilis.

Un problème vaginal peut aussi perturber fortement la sexualité de la femme et influer sur la stabilité du couple. C’est pourquoi traiter le problème le plus rapidement possible est fortement recommandé.

Perte de sensibilité et relâchement vaginal

Les phéromones, à la base de l''attirance

Identification du problème

Le problème vaginal le plus commun est la perte de sensibilité du vagin lié à son relâchement. Elle peut se produire après un accouchement ou de façon naturelle avec l’âge. En cause, un relâchement au niveau du périnée, une zone constituée d’un certain nombre de muscles dont le rôle est de soutenir l’organe génital féminin. Le manque de contact entre un vagin relâché et le pénis entraîne une forte diminution de la sensibilité et une perte de sensations, pour la femme comme pour l’homme.

Comment traiter le problème ?

La sensibilité du vagin est indispensable à l’épanouissement sexuel, c’est pourquoi il existe tout un panel de produits qui permettent de rétablir les sensations naturelles et mettent fin aux problèmes d’élasticité. Ce genre de solutions constitue par ailleurs une excellente alternative à la chirurgie qui peut être coûteuse (laser), douloureuse et invasive avec des résultats pas toujours probants.

Parallèlement aux traitements, vous pouvez également effectuer des exercices des parties intimes. C’est une sorte de gymnastique pour le vagin également connue sous le nom d’exercices du périnée ou du plancher pelvien, et qui aide à renforcer la musculature de la région génitale. Parmi les exercices les plus recommandés, celui de Kegel est celui auquel adhère la majorité des experts (voir tutoriel ci-dessous).

Pour effectuer cet exercice, rien de plus facile.
Étape 1 : serrez les muscles pelviens entre 5 et 10 secondes puis relâchez-les. Répétez les exercices 10 fois en les ponctuant de pauses de 10 secondes.
Étape 2 : durant cet exercice, inspirez toujours par le nez et expirez par la bouche. Allongez-vous sur le dos, puis soulevez vos hanches en serrant les fesses, en gardant les bras allongés au sol et en vous tenant sur la pointe des pieds comme illustré. Répétez l’exercice 10 fois à raison de 5 séances par semaine. Vous pouvez au départ surélever vos hanches pendant 5 secondes, puis prolonger l’exercice au fur et à mesure.

Infections bactériennes et fongiques

Les phéromones, à la base de l''attirance

Identification du problème

Un autre facteur à prendre en compte dans la santé vaginale est l’entretien de la flore bactérienne. Le vagin, comme toutes les parties ouvertes de l’organisme, est composé d’une flore bactérienne, qu’on appelle aussi flore vaginale ou encore microbiote vaginal. Cette flore est indispensable au bon fonctionnement du vagin et à sa protection puisqu’elle lui procure une sorte d’immunisation contre les bactéries et autres microbes. Dans la vie de tous les jours, cette flore peut être mise à rude épreuve par la prise d’antibiotiques, la fatigue, le stress, une mauvaise hygiène ou l’usage de produits intimes pour femme inadaptés. Cette flore étant là pour vous protéger des intrusions, son entretien est primordial, voire crucial.

Comment traiter le problème ?

Le vagin peut se retrouver victime d’infections bactériennes à tout moment et à tout âge. Le meilleur moyen pour y remédier est d’avoir recours à des solutions douces avec des ingrédients naturels qui respectent l’équilibre physiologique particulièrement sensible du vagin. Les traitements invasifs ou agressifs contenant des formulations chimiques sont vivement déconseillés. Mais ce n’est pas le seul danger qui peut perturber votre santé vaginale.

Les infections fongiques causées par des champignons comme le candida albicans sont à l’origine de bien des consultations. Là encore, il est plus que préférable d’avoir recours à des traitements naturels pour éradiquer les infections fongiques et prévenir leur récurrence. À ce titre, les solutions basées sur les compléments alimentaires sont particulièrement appréciées, car elles traitent le problème à partir de l’intérieur grâce à une approche globale et inclusive.

Règles douloureuses (dysménorrhée)

Les phéromones, à la base de l''attirance

Identification du problème

Votre cycle menstruel peut entraîner douleurs et inconfort, et ce, depuis la puberté et jusqu’à la ménopause. Aucune femme n’y échappe et le processus est amené à mal se passer en cas d’une mauvaise alimentation, de stress, de conditions environnementales défavorables (température, altitude) ou d’autres facteurs extérieurs. Le syndrome prémenstruel se caractérise par des sautes d’humeur, des crampes vaginales accompagnées de douleurs, voire des maux de tête, des diarrhées et des nausées. Il peut être très mal vécu et nécessiter une prise en charge adaptée.

Comment traiter le problème ?

Chez certaines femmes, le fait de prendre des contraceptifs (oral, injection ou stérilet) peut faire baisser sensiblement les symptômes dus à une dysménorrhée. Mais toutes les femmes ne sont pas prêtes à adopter ce genre de solutions, surtout les femmes sensibles à la régulation des règles par des traitements hormonaux ou qui sont réfractaires à toute médication synthétique (anti-inflammatoires, antalgiques, anti-spasomodiques).

Là encore, rien de mieux que d’utiliser des solutions naturelles et douces pour prévenir le syndrome prémenstruel. La pose d’une bouillotte chaude au niveau du bas ventre peut atténuer les effets, tout comme les bains chauds et la pratique de certains sports comme la natation. Plus en amont, la prise de certains compléments permet également de prévenir l’inconfort et tous les désagréments engendrés par la dysménorrhée. Dans ce dernier cas, il faut envisager un traitement sur le long terme pour efficacité accrue conjuguée à une adaptation optimale de l’organisme au traitement.

Irritations vaginales

Les phéromones, à la base de l''attirance

Identification du problème

Les irritations vaginales et les démangeaisons représentent un mal qui touche la femme au moins une fois au cours de sa vie. Les irritations vaginales provoquent un inconfort important chez les femmes qui en souffrent. La plupart du temps les démangeaisons et les irritations vaginales sont des symptômes causées par une infection des muqueuses ou sont le résultat d'un déséquilibre de la flore vaginale. Bien que les irritations vaginales et les démangeaisons s'estompent d'elles-mêmes, il est important de prendre soin des muqueuses des organes génitaux en ayant une bonne hygiène.

Les irritations vaginales sont provoquées par divers facteurs comme l'utilisation de produits de soins inadaptés (savons par exemple) et non respectueux de l'équilibre de la flore vaginale, ou encore le port de vêtements et sous-vêtements synthétiques trop serrés. Les irritations vaginales peuvent également être des signes avant-coureurs de maladies sexuellement transmissibles, d'infections ou d'un déséquilibre hormonal (ménopause ou grossesse).

Comment traiter le problème ?

Le cas de figure le plus courant est la vaginite. Le type de vaginite varie selon les causes à l'origine de l'infection. Néanmoins, le profil de l'infection reste souvent le même, à savoir une prolifération trop importante des bactéries qui sont déjà présente dans la flore bactérienne normale du vagin. Des études1 ont montré qu’en moyenne 1 femme sur 4 est atteinte par des infections telles que la vaginite, mais que seulement la moitié d'entre elles ressentent des symptômes de la vaginite qui portent atteinte à leur hygiène vaginale. La vaginite et ses symptômes tels que les démangeaisons vaginales peuvent être aisément soulagés par un lavement vaginal doux et hypoallergénique. Dès lors que l'infection a disparu, vous pouvez continuer à utiliser un nettoyant adapté pour prévenir de nouvelles infections et autres irritations vaginales. Il est donc recommandé d’opter pour des produits de soins intimes spécialement conçus en ce sens.

Il existe des astuces pour éviter les démangeaisons vaginales ou autres brûlures. Lavez la vulve chaque jour tout en optant pour des sous-vêtements en coton, afin de bénéficier d'une aération adéquate. En plus de cela, évitez les strings, qui peuvent accélérer les irritations ou infections vaginales par le transfert des bactéries de l'anus jusqu'au vagin. Pour éviter la vaginite et les démangeaisons vaginales, vous pouvez également utiliser des produits hypoallergéniques qui ont été conçus spécialement pour purifier votre zone intime sans troubler l'équilibre du pH vaginal.

Pertes vaginales

Les phéromones, à la base de l''attirance

Identification du problème

Si dans la terminologie médicale, l’expression "pertes vaginales" (sécrétions vaginales ou encore leucorrhées) fait référence dans la majorité des cas à un phénomène physiologique tout à fait normal, il n’en va pas de même pour le grand public pour qui cette formule a une connotation plus péjorative, souvent reliée à un problème pathologique des parties intimes de la femme.

Puisqu’il y a plusieurs causes aux pertes vaginales anormales, les symptômes varient selon chaque cas. Ce sont donc les symptômes qui permettent de poser un diagnostic assez précis.

  • Dans le cas d’une vaginose, on observe une odeur de poisson, une couleur variable, voire même normale, et une gêne physique. En effet, les pertes sont accompagnées de brûlures, rougeurs, démangeaisons et/ou gonflement.
  • Dans le cas d’une mycose vaginale, les pertes sont épaisses, d’une couleur jaune très clair. Par contre elles sont inodores. La personne souffre également de démangeaisons et de brûlures, tout particulièrement lors des rapports sexuels.
  • Enfin dans le cas d’une vaginite à trichomonas, les pertes sont mousseuses et ont une odeur désagréable. Elles ont une couleur verdâtre ou jaunâtre. Faire pipi est très douloureux. Et l’on ressent également des brûlures, des irritations et des démangeaisons.

Comment traiter le problème ?

Les pertes vaginales sont un phénomène naturel et permettent d’épurer, d’immuniser et de lubrifier le vagin. Elles ont aussi un rôle important dans la sexualité (phéromones) et la reproduction (favoriser le déplacement des spermatozoïdes lors de l’accouplement). Cela dit, lorsque les sécrétions sont dues à une pathologie (comme vu précédemment), il convient de prendre des mesures pour traiter le problème à la racine afin de l’éradiquer efficacement et prévenir toute récidive.

>> Pour en savoir plus, lire notre article sur les «Pertes vaginales» <<

Maladies sexuellement transmissibles (MST)

Les phéromones, à la base de l''attirance

Identification du problème

Les femmes sont particulièrement vulnérables aux MST lors de relations sexuelles non protégées. Parmi les infections vaginales les plus courantes liées aux MST, on retrouve l’herpès et la syphilis. L’herpès génital est considéré comme une infection particulièrement contagieuse, même si elle peut être asymptomatique chez certaines femmes. L’herpès est considéré comme une maladie très tenace à cause de son taux de récidive particulièrement élevé, principalement chez les personnes immunodéficientes

Les principaux symptômes sont la formation de petites lésions autour du vagin, mais aussi au niveau des fesses, de l’anus et des cuisses. Ces symptômes peuvent être accompagnés par des maux de tête, de la fièvre, des démangeaisons ou des irritations au niveau du vagin ainsi que des douleurs lorsque la femme urine. .

La syphilis (vérole) est quant à elle causée par une bactérie nommée Treponema pallidum. Difficilement identifiable au début de l’infection, il faut souvent avoir recours à test sanguin pour la déceler. Les symptômes les plus courants chez la femme sont des ulcères vaginaux souvent accompagnés de démangeaisons et d’irritations inconfortables.

Comment traiter le problème ?

La meilleure façon de se prémunir des MST, spécialement la syphilis et l’herpès génital, reste l’utilisation de préservatifs, même si cela n’élimine pas totalement le risque dans le cas de la syphilis. Pour cette dernière, l’abstinence de tout contact physique avec des personnes contaminées reste la meilleure chose à faire. Mais une fois que la maladie se déclare, une consultation chez le médecin est nécessaire pour recevoir un soin médicamenteux adapté au degré d’infection (précoce ou tardive).

Concernant l’herpès, il faut savoir que le virus reste présent dans l’organisme en latence entre 2 poussées. Cela dit, il existe de nombreux traitements, naturels et médicamenteux, qui permettent d’éliminer les symptômes et d’éviter les récidives assez courantes chez les femmes touchées par cette maladie infectieuse.

>> Pour en savoir plus, lire notre article sur les «Herpès génital» <<

Sources

  1. https://emedicine.medscape.com/article/257141-overview

Partager sur